Osez Rêver

Transformez des vies. Faites évoluer la médecine.

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Première année de la Campagne Osez Rêver

Même si la dernière année a été difficile, notre communauté de donateurs et de bénévoles s’est mobilisée pour oser rêver à l’avenir des soins de santé. Grâce à la persévérance de tous et toutes, nous avons recueilli ensemble plus de 79 millions de dollars pour la campagne Osez rêver afin d’appuyer les brillants esprits, les programmes à la fine pointe et les soins aux patients incomparables du CUSM.

Nous sommes fiers de faire partie d’une communauté aussi dévouée. Grâce à votre soutien, nos médecins scientifiques ont découvert de nouvelles options d’innovation, dont plusieurs ont été rendues nécessaires par la pandémie. Ils ont découvert des façons de combattre la COVID-19 dans toutes les disciplines : le Dr Abhinav Sharma, cardiologue, réduit l’hésitation face au vaccin chez les patients atteints de maladies cardiaques, un groupe particulièrement vulnérable; la spécialiste de la formation par simulation Carolyn White a développé une formation pour aider les équipes de soins de santé à s’adapter aux nouveaux protocoles en situation de COVID-19; et Sophie Blondin du Programme de bien être de la Clinique du sein a adapté le programme complet pour l’offrir en ligne, afin de s’assurer que les patientes atteintes du cancer du sein continuent de recevoir du soutien.

Ces exemples d’innovation et d’adaptabilité nous inspirent. Mais nous ne pourrions y arriver sans vous. Avec votre soutien, nous avons étudié la pandémie de COVID-19 sous tous les angles et nous réalisons nos grands rêves pour améliorer les soins de santé pour tous.

Merci d’Oser rêver avec nous.

Suzanne Legge Orr     
Coprésidente de la campagne Osez rêver

Jean Charest
Coprésident de la campagne Osez rêver

Marc Parent
Coprésident de la campagne Osez rêver

Initiatives de la campagne

Infection et immunité
Résoudre les énigmes les plus meurtrières de L’humanité.

S’appuyant sur un partenariat entre l’Université McGill et le Centre universitaire de santé McGill, l’Initiative interdisciplinaire en infection et immunité de McGill (MI4) a été créée en 2017 pour faire face à la menace mondiale des infections. Elle rassemble plus de 250 chercheurs issus de domaines très variés pour trouver des solutions aux énigmes les plus meurtrières de l’humanité : la tuberculose, la COVID-19 et la menace croissante de la résistance aux antibiotiques. Nous recueillons 60 millions de dollars pour améliorer la santé de toutes et tous, dans le monde entier.

Image d'un couple

Prix Legge Orr du leadership MI4

Le Prix Legge Orr du leadership MI4, créé grâce à un généreux don d’un million de dollars de Suzanne Legge Orr et Jeffrey Orr, soutient la direction de MI4 et fait progresser sa mission.

La coprésidente de la campagne Osez rêver Suzanne Legge Orr et son mari Jeffrey Orr ont fait un don d’un million de dollars pour créer le Prix Legge Orr du leadership MI4. Ce nouveau prix fournira un financement crucial à MI4 pour soutenir sa direction et faire progresser sa mission de trouver des solutions novatrices à certaines des maladies les plus mortelles au monde : la tuberculose, l’hépatite C, la COVID-19 et d’autres encore.

Ce don récompensera le leadership du Dr Don Sheppard, directeur de MI4 et fondateur de l’initiative. Reconnaissant l’importance des directeurs talentueux, la famille Legge Orr s’est engagée à appuyer les travaux du Dr Sheppard pendant huit ans, et ceux des leaders de MI4 à venir.

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Après des années, une mystérieuse maladie enfin identifiée

Après des années de maladie et de diagnostics erronés, David Ray a rencontré le Dr Momar Ndao, expert en maladies parasitaires, qui a finalement trouvé une réponse à ses interrogations. Aujourd’hui en voie de guérison, il recueille des fonds pour appuyer le travail du Dr Ndao.

La vie de David Ray a changé le jour où il a été mordu par le chien de son frère. À partir de ce jour, il a souffert d’une variété de symptômes physiques et neurologiques qu’aucun médecin ne parvenait à diagnostiquer. Pendant des années, David a cherché des réponses, consultant un médecin après l’autre. Puis, il a rencontré le Dr Momar Ndao, expert en maladies parasitaires, et l’équipe de la Clinique des maladies tropicales du CUSM.

Dès sa rencontre avec le Dr Ndao, David a su qu’il était entre bonnes mains et qu’il recevrait enfin l’aide qu’il recherchait désespérément. Grâce au Dr Ndao et au Dr Donald Vinh, il a obtenu les résultats de tests qui ont confirmé ce qu’il soupçonnait depuis le début : il était atteint d’une infection parasitaire. Aujourd’hui en voie de guérison, David a recueilli plus de 14 000 $ par l’entremise de la Fondation du CUSM pour aider le Dr Ndao à acheter de l’équipement à la fine pointe qui l’aidera à mieux établir des diagnostics et soigner ses patients, ainsi qu’à mener des recherches.

Bourse Pfizer de début de carrière en recherche

Les Bourses Pfizer de début de carrière en recherche permettent tous les ans à deux jeunes scientifiques de la relève d’entreprendre des recherches pour trouver des solutions novatrices aux maladies infectieuses. Cette nouvelle bourse a été rendue possible grâce à un don de 600 000 $ de Pfizer Canada.

Les Bourses Pfizer de début de carrière en recherche permettent à des chercheurs et chercheuses en début de carrière de la communauté de l’Université McGill et du CUSM d’entreprendre des recherches ayant un impact majeur pour contrer la menace des maladies infectieuses et faire évoluer la médecine. Sur une période de trois ans, deux bourses de 100 000 $ seront décernées chaque année, dont l’une à un chercheur ou une chercheuse titulaire d’un Ph. D. et l’autre à un clinicien-chercheur ou une clinicienne-chercheuse. Il est essentiel de soutenir la prochaine génération de chercheurs pour accélérer les découvertes, de la conception à l’application en contexte réel.

image dun doctor

Le Dr Donald Sheppard, directeur de MI4, remporte un prix

Le Dr Don Sheppard, directeur de MI4, a reçu le Prix 2021 de la principale de McGill pour le rayonnement du savoir dans les médias et auprès du public pour souligner l’information essentielle qu’il a fournie au public sur la COVID-19.

Le Prix de la principale de McGill pour le rayonnement du savoir dans les médias et auprès du public souligne les réalisations exceptionnelles de personnes qui partagent leurs connaissances avec les médias et le public, en plus de soutenir l’engagement de l’Université McGill au service de la société et de nos communautés. Le Dr Sheppard a reçu ce prix pour ses incroyables facultés de communication au sujet de la COVID-19 durant la pandémie. Sa présence dans les médias et son partage d’informations claires et précises sur la COVID-19 et sur les importantes mesures de sécurité ont été déterminants.

« Les maladies infectieuses – comme la COVID-19 – font partie des plus grandes menaces pour l’humanité, et ce depuis des temps immémoriaux. Notre capacité de survivre à ces maladies est l’une des plus importantes réalisations de notre espèce. Nous sommes fières de diriger la campagne Résoudre les énigmes les plus meurtrières de l’humanité pour faire en sorte que les maladies infectieuses les plus dangereuses puissent être traitées et que les patients puissent survivre, aujourd’hui et dans l’avenir. »

— Heather Munroe-Blum et Claire Trottier, coprésidentes de la campagne Résoudre les énigmes les plus meurtrières de l’humanité

Cardiologie
Souder les cœurs brisés.

Quand une crise cardiaque frappe. Quand une valve cardiaque ne fonctionne pas. Quand une artère est bloquée. Quand une tragédie mène à une transplantation qui sauve une vie… chaque battement de cœur devient à jamais un triomphe. Nous recueillons 50 millions de dollars afin que, dans dix ans, Montréal ait le taux d’hospitalisation le plus bas et le moins de décès en lien avec les maladies cardiaques au Canada. Lorsque nous réussirons, nos vies seront plus riches et de plus longue durée.

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Lancement du programme Courtois des Signatures Cardiovasculaires

Le Programme Courtois des signatures cardiovasculaires, une étude sur dix ans visant à mieux comprendre les risques de développer une maladie cardiovasculaire, a été lancé en 2020 grâce à un don de 18 millions de dollars de la Fondation Courtois.

Le nouveau Programme Courtois des signatures cardiovasculaires invente la médecine de précision de demain pour les maladies cardiovasculaires en schématisant la signature personnelle des patients, ce qui les rend uniques comme la génétique, le style de vie et d’autres facteurs.

Dirigé par la Dre Nadia Giannetti, cardiologue, ce programme schématisera le sang, le génome et les biomes des participants, et capturera des images de leur cœur et de leurs artères carotides. En réexaminant chaque participant régulièrement sur une période de dix ans, les médecins scientifiques participant au programme découvriront des tendances et de nouvelles connaissances sur les risques de maladie cardiaque. L’objectif? Dans dix ans, Montréal aura le taux d’hospitalisation et le nombre de décès dus aux maladies cardiaques les plus faibles au Canada. La Fondation du CUSM remercie la Fondation Courtois pour son don de 18 millions de dollars qui permettra de réaliser cette étude.

image dun docteur

Une nouvelle appli pour inciter les Canadiens à bouger

Le Dr Abhinav Sharma, cardiologue, a reçu une subvention LEAP de 100 000 $ pour développer MyHeart Counts, une nouvelle appli qui vise à améliorer la santé cardiaque des Canadiens.

La nouvelle appli MyHeart Counts incitera les Canadiens à bouger pour améliorer leur santé cardiovasculaire. Semblable à l’appli de l’Université de Stanford – que le Dr Sharma a contribué à développer – MyHeart Counts mise sur l’intelligence artificielle, la rétroaction et le soutien en temps réel pour augmenter l’activité physique et réduire le risque de maladie cardiovasculaire. Grâce à une subvention LEAP de 100 000 $, le Dr Sharma pourra développer cette appli pour les utilisateurs canadiens.

image dun couple en italie

Skip Beloff s’attaque à une maladie cardiaque méconnue

Quand Skip Beloff a reçu un diagnostic d’amyloïdose cardiaque ou syndrome du cœur dur, il s’est dit qu’il devait faire quelque chose pour sensibiliser la population à cette maladie méconnue. Il recueille des fonds pour faire du CUSM un chef de file de la recherche sur l’amyloïdose cardiaque et des soins de cette maladie.

Au retour de ses vacances en Italie avec son épouse, Charles « Skip » Beloff a commencé à éprouver des symptômes étranges. Après avoir profité de la chaude température et de la délicieuse nourriture italienne, il se sentait tout à coup essoufflé et étourdi. Ayant été sportif toute sa vie, il n’avait jamais eu de problèmes de santé sérieux. Après cinq mois d’examens pénibles, de diagnostics erronés, de pronostics effrayants et de consultations dans des hôpitaux internationaux pour obtenir l’opinion de spécialistes – un véritable « parcours du combattant » – il a reçu un diagnostic d’amyloïdose cardiaque.

L’amyloïdose cardiaque est une accumulation de protéines anormales dans le cœur. Au fil du temps, ces protéines amyloïdes remplacent les tissus normaux, compromettant ainsi la capacité du cœur à pomper le sang et à transmettre les signaux électriques, ce qui peut éventuellement occasionner de l’insuffisance cardiaque. Cette maladie est couramment appelée le syndrome du cœur dur parce qu’elle entraîne l’épaississement et la rigidité du muscle cardiaque. Autrefois considérée comme une maladie rare, les médecins découvrent aujourd’hui que l’amyloïdose cardiaque est beaucoup plus courante qu’ils l’avaient cru.

Reconnaissant du traitement qu’il a reçu au CUSM, Skip redonne à l’équipe de cardiologie dans le cadre de la campagne Osez rêver : souder les cœurs brisés en recueillant des fonds par l’entremise de la Fondation du CUSM, pour mettre sur pied un programme de recherche sur l’amyloïdose cardiaque dirigé par le Dr Michael Chetrit, cardiologue.

image de trois personne devant une montagne

Le PSCF aide les femmes à prendre leur santé en main

Lorsque Cheryl Beck a fait une crise cardiaque à l’âge de 53 ans, elle n’y croyait pas. Après sa guérison, le Programme pour la santé cardiaque des femmes (PSCF) l’a aidée à modifier son style de vie pour réduire le risque d’une deuxième crise cardiaque.

Le jour où Cheryl Beck a fait une crise cardiaque, elle souffrait de décalage horaire et ne se sentait pas bien. Après avoir fait une recherche sur ses symptômes, son mari lui a donné de l’aspirine et l’a conduite aux urgences. Il a bien fait de suivre son instinct : Cheryl faisait une crise cardiaque.

Après cette expérience effrayante, elle a communiqué avec l’infirmière Wendy Wray, fondatrice et directrice du Programme pour la santé cardiaque des femmes (PSCF) au CUSM. Le PSCF est le premier programme collaboratif de prévention des maladies cardiaques au Canada dédié aux femmes et dirigé par une infirmière. Son objectif est de permettre aux femmes de prendre en main leur propre santé cardiaque grâce à la sensibilisation, l’éducation et la prévention.

Comme on suppose à tort qu’il s’agit d’une « maladie d’homme », les signes de maladies cardiaques chez les femmes sont souvent négligés, alors qu’elles tuent une Canadienne sur trois. Pire encore, les maladies cardiaques chez les femmes sont sous-diagnostiquées, insuffisamment traitées et peu étudiées.

Le PSCF est un programme volontaire, ce qui signifie que n’importe quelle femme peut s’inscrire, sans recommandation de son médecin. Le programme est entièrement financé par des dons, et offert gratuitement aux participantes. Jusqu’à maintenant, il a aidé plus de 1 000 femmes à réduire leur risque de maladie cardiaque.

Par l’entremise du Programme pour la santé cardiaque des femmes, Cheryl Beck a reçu des soins cardiaques personnalisés, elle a acquis les connaissances et les outils nécessaires pour réduire son risque d’avoir une autre crise cardiaque.

« Nous avons personnellement constaté comment le soutien de la communauté peut transformer les soins de santé – il permet de construire un hôpital comme le CUSM. Il permet aussi de changer l’avenir pour les 90 % d’entre nous qui ont au moins un facteur de risque de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Nous devons oser rêver ensemble, et nous pourrons souder les cœurs brisés. »

— Patricia Saputo, Patrick Shea et Sam Reda, coprésidents de la campagne Soudez les cœurs brisés

DOvEE
Arrêtez le "tueur silencieux".

Les cancers de l’ovaire et de l’endomètre sont des tueurs silencieux, dont les symptômes apparaissent rarement avant qu’il soit trop tard. Plus tôt ces cancers seront détectés, plus les femmes auront de chances de survie. La Dre Lucy Gilbert, gynécologue oncologue, a la réponse : le test DOvEEgene. Aussi simple qu’un test Pap, il est minimalement invasif et peut dépister le cancer à l’aide d’une analyse de l’ADN avant qu’il se transforme en sentence de mort. C’est une découverte historique, qui pourrait sauver des millions de vies. Et elle a été faite au Québec. Ensemble, nous avons recueilli plus de 1,9 million de dollars pour appuyer le projet DOvEE.

Image dun couple dans un voiture

Un don pour honorer la mémoire d’une mère

Après avoir perdu sa femme Ronda des suites d’un cancer de l’ovaire, Cary Green a fait un don de 50 000 $ pour appuyer le projet DOvEE, afin que ce tueur silencieux ne prive pas d’autres familles de leurs proches. Cary Green est déterminé à changer le visage du cancer de l’ovaire pour de bon. Après le décès de sa femme Ronda des suites de cette maladie, lui et sa famille ont fait un don de 50 000 $ au projet DOvEE.

Ronda était une femme aimante, mère de trois enfants et nouvellement grand-mère. Elle aimait le golf, le ski, les voyages, se divertir et jouer au mah-jong, mais ce qu’elle aimait par-dessus tout, c’était de passer du temps avec sa famille et ses amis. Comme pour plusieurs femmes dans sa situation, le cancer de Ronda a été diagnostiqué à un stade avancé. Les cancers de l’ovaire et de l’endomètre sont très souvent asymptomatiques, ce qui signifie que la plupart des femmes ne s’en rendent compte que lorsqu’il est trop tard. Le don de la famille Green contribuera à faire en sorte que plus de femmes puissent recevoir un diagnostic précoce, pour éviter que le cancer de l’ovaire prive d’autres familles d’une proche.

image de julie snyder

Campagne plus de temps avec ma mère

La Fondation du CUSM s’est associée à la personnalité médiatique québécoise Julie Snyder, animatrice de La semaine des 4 Julie, pour s’assurer que les cancers de l’ovaire et de l’endomètre n’empêchent plus personne de passer plus de temps avec sa mère.

La Fondation du CUSM et la personnalité médiatique Julie Snyder ont recueilli des fonds pour le dépistage précoce des cancers féminins, afin de faire en sorte que ces tueurs silencieux n’emportent plus de mères, de sœurs et d’amies. La campagne a permis de recueillir plus de 150 000 $ pour financer le dernier essai clinique du test DOvEEgene, afin que cette découverte historique faite au Québec devienne la norme de soin pour toutes les femmes.

Cette campagne d’une durée de deux mois a donné lieu à des reportages au cours de l’émission de Julie Snyder, La semaine des 4 Julie.

Image de trois personne

Mardi je donne permet de recueillir 80 000 $ pour arrêter le tueur silencieux

À l’occasion de la journée Mardi je donne 2020, notre communauté de donateurs a recueilli 80 000 $ pour appuyer le projet DOvEE.

Plus de 3 000 Canadiennes succombent chaque année aux cancers de l’ovaire et de l’endomètre. En fait, ces cancers constituent la quatrième cause en importance de tous les cas de cancer et de décès du cancer chez les femmes au Canada. Grâce à votre soutien, la Dre Lucy Gilbert et son équipe en sont maintenant à l’étape du dernier essai clinique du test DOvEEgene, la première solution fiable au monde pour diagnostiquer les cancers de l’ovaire et de l’endomètre de façon précoce, alors qu’ils peuvent encore être guéris. Grâce à votre soutien exceptionnel, nous avons recueilli plus de 80 000 $ pour aider la Dre Gilbert et son équipe à franchir le dernier obstacle avant que le test DOvEEgene devienne la norme de soin pour toutes les femmes.

image de un docteur

Dre Lucy Gilbert nommée au palmarès des 25 femmes les plus influentes

La Dre Lucy Gilbert, gynécologue oncologue et inventrice du test DOvEEgene, a été nommée au palmarès des 25 femmes les plus influentes au Canada en 2021 pour reconnaître le modèle exceptionnel qu’elle offre aux femmes en sciences, en technologie, en génie et en mathématiques.

Leader remarquable et agente de changement, la Dre Lucy Gilbert a été choisie parmi les femmes les plus influentes en 2021 – un prix qui célèbre les femmes les plus accomplies au Canada.

« Quand j’ai commencé ma carrière en médecine, il y avait très peu de femmes, surtout en chirurgie. J’ai été inspirée par les rares femmes qui avaient brisé le plafond de verre. J’espère inspirer à mon tour les jeunes femmes d’aujourd’hui, en particulier celles qui sont issues des minorités visibles. Je veux que les femmes sachent qu’il est possible de conjuguer vie familiale et carrière prospère. Il suffit de croire en vous et de suivre vos passions. »

— Dre Lucy Gilbert, directrice du département de gynécologie oncologique, Centre universitaire de santé McGill

Le Lycée des Femmes Helléniques de Montréal recueille des fonds pour le projet DOvEE

Le Lycée des femmes helléniques de Montréal a recueilli plus de 31 000 $ dans le cadre de son activité de collecte de fonds virtuelle, l’événement virtuel Joanne et Melina, mettant en vedette la Dre Lucy Gilbert et la ministre canadienne de la Santé, Patty Hajdu.

Lors de l’événement virtuel Joanne et Melina, les survivantes du cancer Joanne Photiades et Melina Tsagaropoulos, qui suit actuellement des traitements, ont livré des témoignages bouleversants. Elles ont présenté de manière honnête et émouvante leur parcours du cancer et leur expérience de la maternité après les traitements. Après l’allocution d’ouverture de la ministre canadienne de la Santé, Patty Hajdu, l’événement comprenait une séance de questions avec la Dre Lucy Gilbert au sujet de son test révolutionnaire DOvEEgene. Tous les dons serviront à financer le dernier essai clinique du test, qui accepte actuellement la participation de toute personne âgée de 45 à 70 ans possédant un utérus (doveegene.com). L’événement a permis de recueillir plus de 31 000 $ pour appuyer le programme de recherche DOvEEgene.

« Nous rêvons qu'aucune femme ne soit privée de sa vie - et de son potentiel - par ce tueur silencieux. Ensemble, nous pouvons ouvrir la voie à un monde où les cancers de l'ovaire et de l'endomètre ne feront plus partie des cancers les plus mortels. Grâce au test DOvEEgene du Dr Gilbert, nous pouvons faire en sorte que plus aucune mère, fille, sœur ou amie ne soit perdue. »

— Joanne Photiades, Micol Haimson et Matthew Marchand, coprésidents de la campagne Arrêtez le "tueur silencieux".

Formation et simulation
Aidez-nous à former l'équipe la plus qualifiée du Canada.

En tant que chef de file en sciences de la santé, le CUSM s’est engagé à former les professionnels de la santé actuels et futurs. La complexité des soins aux patients rend essentielle la collaboration entre les professionnels de la santé.  Si les prestataires de soins de santé travaillent en équipe, ils doivent pratiquer en équipe.

image de trois personne devant un lit d'hopital

La formation par simulation, un incontournable pour les soins de la Covid-19

Le CUSM a réussi à former son personnel aux protocoles en situation de COVID-19 grâce à un don généreux d’équipement de simulation et à un financement de CAE. La formation par simulation avec des mannequins réalistes a aidé le personnel de soins de santé à se préparer à affronter la pandémie.

Au CUSM, lorsqu’un patient fait un arrêt cardiaque, tout le monde entre en action. Tout comme dans un  drame médical, les médecins et les infirmières se précipitent au chevet du patient dès l’appel du « Code bleu », les voies respiratoires sont vérifiées et les compressions thoraciques commencent. Mais la COVID-19 a tout changé.

Avec un risque aussi élevé de transmission au personnel de la santé, la COVID-19 constituait un défi : les médecins et les infirmières ne pouvaient plus se précipiter au chevet des patients en détresse. Ils devaient d’abord revêtir un équipement de protection complet, ce que personne ne veut prendre le temps de faire lorsqu’un patient est mourant. Pourtant cette étape essentielle pourrait être une question de vie ou de mort en soi. Si un professionnel essentiel de la santé tombe malade, il ne peut plus sauver des vies. Et s’il tombe gravement malade, il peut mourir.

Pour mettre en œuvre ces nouvelles mesures du Code bleu, le CUSM s’est tourné vers la formation par simulation. Des centaines d’employés ont reçu une formation à l’aide de mannequins de simulation réalistes donnés par CAE. Reconnaissant le besoin de formation par simulation au CUSM, l’entreprise montréalaise CAE a fait don de 500 000 $ en financement et en équipement au Réseau de compétences et de simulation du CUSM au début de l’année 2020. Elle ne se doutait pas que cet équipement deviendrait essentiel pour former le personnel du CUSM sur les procédures à appliquer pendant la pandémie.

Améliorer les compétences pour sauver des vies

Le Réseau de formation interprofessionnelle et de simulation améliore les compétences et le travail d’équipe pour sauver des vies dans l’ensemble du CUSM, grâce à un don de 500 000 $ de SNC-Lavalin. Ce don permettra d’offrir un meilleur accès à la formation par simulation aux équipes de soins de santé.

Dans le cadre de la formation par simulation, des mannequins de simulation à la fine pointe sont mis en scène dans des scénarios très réalistes. Ces « patients » presque aussi vrais que nature peuvent simuler des crises cardiaques, de la détresse respiratoire et des douzaines d’autres problèmes médicaux pour permettre aux travailleurs de la santé de mettre en pratique leurs compétences avant d’intervenir auprès de patients vivants. Le soutien de SNC-Lavalin favorise la poursuite de l’excellence en matière de soins pour 1,9 million de Québécois desservis par le CUSM. Le simple fait de savoir où une pièce d’équipement est entreposée peut accélérer la réaction à une urgence médicale, et le Réseau de formation interprofessionnelle et de simulation contribuera à s’assurer que tout le personnel connaît le rôle qu’il doit jouer en tant que membre d’une équipe de soins de santé cohérente.

« Avoir le temps de faire une pause et de tirer des enseignements des simulations nous donne non seulement la confiance nécessaire en tant que professionnels, mais nous permet aussi de tirer des leçons essentielles. Au bout du compte, il s'agit de s'assurer que nous fournissons les meilleurs soins possibles à nos patients. »

— Christine Echegaray-Benites, infirmière de pratique avancée

Médecine respiratoire
Mieux Respirer

En février 2021, la Fondation du CUSM a lancé la campagne Osez rêver : mieux respirer visant à recueillir 10 millions de dollars pour appuyer des recherches à couper le souffle et des soins qui donnent un nouveau souffle. La campagne met l’accent sur quatre piliers : Excellence des soins aux patients grâce à des diagnostics améliorés, de l’équipement plus à jour et le personnel le plus talentueux; Suivi à domicile afin que les médecins puissent surveiller les symptômes des patients, même lorsqu’ils sont chez eux; Subventions à l’innovation pour fournir des fonds essentiels aux scientifiques qui ont de grands rêves pour l’avenir de la médecine respiratoire; Programme d’essais cliniques sur les maladies respiratoires pour fournir l’infrastructure, l’équipement et l’expertise nécessaires pour effectuer des essais cliniques sur les plus récents traitements en médecine respiratoire. Cette campagne ambitieuse permettra à l’ITM de continuer d’offrir des soins complexes et sophistiqués à toutes ses patientes et tous ses patients.

logo: Fonds ITM

Fusion historique de deux fondations

Le 1er avril 2021, la Fondation de l’Institut thoracique de Montréal (ITM) a fusionné officiellement avec la Fondation du CUSM, et les deux fondations ont uni leurs forces pour aider les patients atteints de maladies respiratoires complexes et chroniques à mieux respirer et à vivre plus longtemps. Ensemble, la Fondation du CUSM et la Fondation de l’ITM pourront avoir un impact encore plus important sur les soins aux patients. Le nouveau Fonds ITM de la Fondation du CUSM fera en sorte que l’Institut thoracique de Montréal continue à prospérer et à jouer un rôle de chef de file mondial des soins respiratoires, de l’enseignement et de la recherche.

« En unissant nos forces à la Fondation du CUSM, nous serons en mesure de mieux assister l’équipe de scientifiques de renom qui mènent des recherches de pointe. Ensemble, nous pourrons travailler à l’élaboration de solutions novatrices qui permettront à des millions de personnes atteintes de maladies respiratoires, au Québec et partout dans le monde, de respirer plus aisément. »

– Bryan Fitzpatrick, président, Fondation de l’Institut thoracique de Montréal

Appuyer les chercheurs émergents dans le domaine des maladies respiratoires

Un don généreux de 250 000 $ d’un donateur anonyme appuie la Bourse de recherche Dre Margaret Becklake pour les spécialistes des maladies respiratoires de la relève, ainsi que les projets portant sur les troubles du sommeil et les autres maladies pulmonaires.

La Dre Margaret Becklake a été une pionnière de la médecine respiratoire. Cette médecin scientifique émérite rattachée à l’ITM et à l’Université McGill a mis sur pied la réputée Unité d’épidémiologie respiratoire et de recherche clinique. La Bourse de recherche Dre Margaret Becklake appuie la recherche et la formation d’un spécialiste des maladies respiratoires de la relève, provenant d’un pays à revenu faible ou moyen. Grâce à un don généreux de 250 000 $ d’un donateur anonyme, dont la moitié servira à financer la bourse, la prochaine génération de chercheurs dans le domaine des maladies respiratoires aura le soutien nécessaire pour se spécialiser. L’autre moitié du don servira à appuyer des projets portant sur les troubles du sommeil, comme l’apnée du sommeil, et les autres maladies pulmonaires.

S’attaquer aux symptômes post-Covid-19

L’ITM met sur pied la clinique post-COVID-19 pour appuyer les nombreuses personnes qui éprouvent encore des symptômes de la COVID-19 six mois ou plus après leur diagnostic.

Après un an de pandémie de COVID-19, nos scientifiques commencent à constater certains effets à long terme du virus. Des recherches ont révélé que 42 % des patients atteints de COVID-19 éprouvent encore des symptômes six mois après leur maladie initiale. Cela signifie que près de la moitié de celles et ceux qui ont contracté la COVID-19 sont encore essoufflés, n’ont pas retrouvé le goût et l’odorat, éprouvent des douleurs musculaires et, dans les cas plus graves, souffrent de dommages aux poumons. Pour appuyer ces personnes, l’ITM a mis sur pied la clinique post-COVID-19. Plusieurs des effets à long terme du coronavirus peuvent être atténués en assurant un diagnostic et un traitement appropriés, et l’ITM possède l’expertise nécessaire pour fournir ces soins absolument essentiels.

« Respirer est une fonction qu’on tient pour acquise. Mais pour les personnes atteintes de maladies respiratoires, chaque respiration est un combat. Des millions de personnes dans le monde sont atteintes de maladies pulmonaires, et nous devons trouver de nouvelles façons de les traiter. Nous sommes honorés d’aider l’Institut thoracique de Montréal à faire en sorte que notre communauté puisse mieux respirer. »

— Scott Jones, Paul Beattie et John Kalaydjian, coprésidents de la campagne Mieux respirer

Cancer
Mettre fin au Cancer

Le cancer nous affecte tous et toutes. Votre grand-père. Votre tante. Votre meilleur ami. Votre père. Votre sœur. Vous. Personne n’est épargné par cette maladie. En 2018 seulement, 9,8 millions de personnes dans le monde sont décédées du cancer, dont 82 000 Canadiens et Canadiennes. Un Canadien sur deux développera un cancer, et un sur quatre en mourra. Nous avons un plan pour mettre fin au cancer : le détecter plus tôt. Comprendre sa génétique, découvrir ses faiblesses. C’est pourquoi nous recueillons 35 millions de dollars pour mettre fin au cancer.

Un nouveau partenariat pour améliorer le traitement du cancer

Un nouveau partenariat public-privé impliquant l’IR-CUSM et MEDTEQ+ mise sur la médecine personnalisée avant-gardiste pour améliorer la survie des patients atteints de cancer colorectal au stade IV.

Un nouveau partenariat entre MEDTEQ+, l’IR-CUSM, MIMs et Caprion-HistoGeneX, des leaders dans la recherche sur le cancer, l’intelligence artificielle et la médecine de précision, contribue à améliorer le taux de survie des patients atteints de cancer colorectal au stade IV. Avec son équipe, le Dr Peter Metrakos, chirurgien oncologue et chercheur au CUSM, améliore le taux de survie des patients ayant reçu un diagnostic de cancer colorectal au stade IV en utilisant l’intelligence artificielle pour créer des traitements personnalisés.

Améliorer les traitements du cancer grâce à l’intelligence artificielle

Un don généreux de 250 000 $ de Pomerleau, égalé par MEDTEQ+, aide le Dr Peter Metrakos et la Dre Anthoula Lazaris, chercheurs dans le domaine du cancer, à mieux comprendre le cancer colorectal et la façon de le traiter.

Pomerleau, l’une des plus importantes compagnies de construction au Canada, s’est associée à la Fondation du CUSM pour appuyer un projet révolutionnaire dans le domaine du cancer. En faisant un don de 250 000 $ sur cinq ans, Pomerleau appuie la recherche dirigée par le Dr Peter Metrakos, responsable du programme de recherche sur le cancer à l’IR-CUSM. Les travaux du Dr Metrakos, qui misent sur l’expertise d’ingénieurs locaux en intelligence artificielle, amélioreront de manière importante le taux de survie des patients ayant reçu un diagnostic de cancer colorectal au stade IV.

Le cancer colorectal est la deuxième cause de mortalité liée au cancer chez les Canadiens et cause plus de décès que le cancer du sein ou le cancer de la prostate. Le cancer colorectal au stade IV est incroyablement mortel, et son taux de survie sur cinq ans est de seulement 12 %.

En utilisant des techniques de biopsie liquide, les Drs Metrakos, Lazaris et leur équipe vont isoler l’ADN, l’ARN, les protéines et d’autres éléments constituants du sang pour identifier ceux qui sont associés au cancer d’un patient. Ils utiliseront l’intelligence artificielle pour identifier des modèles et dégager des connaissances à partir des données tirées de l’échantillon de sang de chaque patient. Ces modèles seront alors utilisés pour créer un test permettant de prédire le pronostic, une clé essentielle pour mettre au point des traitements personnalisés et améliorer les chances de survie.

Le don de Pomerleau a été doublé par MEDTEQ+, une initiative du ministère de l’Économie et de l’Innovation.

« Notre objectif est de comprendre le cancer de chaque patient afin de pouvoir fournir un traitement précis et personnalisé qui leur sauve la vie. »

Dr Peter Metrakos, Chef de programme, Recherche sur le cancer
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