Combattre l’isolement chez les patients hospitalisés 

Pendant la pandémie, plusieurs patients hospitalisés ont connu des sentiments d’isolement. Grâce à un don généreux de 100 000 $ de TELUS, des chercheurs du CUSM ont étudié comment l’utilisation de tablettes et de vidéoconférences pouvait les aider à combattre la solitude.

En raison des protocoles stricts liés à la COVID-19, les visites étaient interdites au CUSM et de nombreux patients hospitalisés ont vécu de la solitude et de l’isolement. Le fait que les patients soient ainsi privés de leurs proches était déchirant. TELUS a reconnu le besoin d’aider ces personnes vulnérables. Son don de 100 000 $ a permis d’appuyer le travail des Dres Inés Colmegna et Amal Bessisow, médecins scientifiques, et David Meger, informaticien, pour combattre l’isolement chez les patients hospitalisés.

Les chercheurs ont fourni des tablettes aux patients – en particulier à ceux qui n’étaient pas familiers avec la technologie – et leur ont enseigné à faire des appels vidéo avec leurs proches à la maison. Cela a non seulement contribué à atténuer la solitude de nombreux patients, mais a aussi permis aux chercheurs de mesurer l’efficacité des vidéoconférences pour combattre l’isolement et la solitude. La pandémie prendra fin un jour, mais cette étude importante continuera à bénéficier aux patients hospitalisés pendant plusieurs années à venir.
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Une Biobanque pour mieux comprendre la Covid-19

Des milliers d’échantillons provenant de patients atteints de la COVID-19 sont actuellement stockés dans la Biobanque québécoise de la COVID-19 (BQC19) à des fins de recherche. Un généreux don de 100 000 $ de Marc Parent aide le Dr Vincent Mooser à utiliser la BQC19 pour comprendre comment et pourquoi certaines personnes ont des réactions aussi graves à la COVID-19.

La Biobanque québécoise de la COVID-19 (BQC19), une initiative financée par la province, est la plus importante biobanque d’échantillons recueillis auprès de patients ayant été gravement infectés par la COVID-19 au Canada. Elle a pour mission de soutenir les recherches afin de déterminer comment et pourquoi le coronavirus cause des maladies respiratoires graves. Grâce à un généreux don de 100 000 $ de Marc Parent, président et chef de la direction de CAE et coprésident de la campagne Osez rêver, le Dr Vincent Mooser, de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en médecine génomique, étudie des échantillons de COVID-19 fournis par la BQC19 pour comprendre pourquoi le coronavirus cause des maladies respiratoires graves chez certains patients, mais pas chez d’autres. Ces travaux constituent une première étape cruciale pour mettre au point de nouveaux médicaments afin de traiter la COVID-19.
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La télémédecine, pour un accès plus équitable à la santé

Un généreux don de 350 000 $ de la TD aide le CUSM à améliorer la télémédecine, permettant ainsi à un plus grand nombre de patients de recevoir des soins de santé dans le confort de leur foyer grâce à des services de traduction et de transcription en direct.

Malgré les difficultés associées à la télémédecine, la pandémie de COVID-19 a offert l’occasion d’en élargir l’utilisation pour soigner les patients.

Un don de 350 000 $ de la TD permet au CUSM de lancer un nouveau programme de télémédecine, offrant ainsi à un plus grand nombre de patients l’accès à des soins de santé dans le confort de leur foyer grâce à des consultations virtuelles. Le don de la TD permettra d’améliorer les services actuels grâce à des services de traduction et de transcription en direct, qui aident les patients souffrant de déficience auditive ou dont la langue maternelle n’est pas la même que celle de leur médecin. Le don de la TD soutiendra des services de santé inclusifs et équitables pour toutes et tous.
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Réduire l’hésitation face au vaccin contre la Covid-19

Parce qu’elles hésitent à être vaccinées, des milliers de personnes risquent de contracter la COVID 19. Trois chercheurs de l’Institut de recherche du CUSM (IR-CUSM) se penchent sur le problème et développent des programmes pour réduire l’hésitation face au vaccin chez les populations cibles.