Une vie écourtée par un tueur silencieux

Monique Girard-Solomita menait une vie heureuse et pleine d’aventures. Journaliste pendant trente ans, elle avait parcouru le monde. Chez elle, à Laval, elle était une épouse et une mère adorée par ses deux filles. Le 26 avril 2020, la vie qu’elle aimait tant lui a été enlevée. À l’âge de soixante-dix ans, Monique est décédée d’un cancer de l’ovaire.

Après avoir éprouvé des douleurs à l’estomac, Monique a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire le jour de son 69e anniversaire. Elle a été dirigée vers la Dre Lucy Gilbert, gynécologue oncologue au CUSM, et a entrepris des traitements. La Dre Gilbert a été à ses côtés à toutes les étapes de son parcours, lui a offert d’excellents soins, une oreille attentive et a même répondu aux messages texte de sa fille Louise, tard le soir.

Moins d’un an après la fin des traitements de Monique, le cancer est réapparu. Il s’était propagé à son cerveau. Elle était hospitalisée au début de la pandémie, et sa famille ne pouvait pas lui rendre visite. Au bout de deux semaines, Monique a décidé de rentrer à la maison. Elle n’a vécu qu’une semaine de plus. Elle est morte chez elle, entourée de son mari et de ses filles.

Pour éviter que des histoires comme celle de Monique se reproduisent, et pour faire en sorte que cette maladie n’emporte plus de femmes, de mères, de sœurs, de filles et d’amies, la Fondation du CUSM a recueilli plus de 1,9 million de dollars pour financer le dernier essai clinique du test DOvEEgene de la Dre Gilbert pour le dépistage précoce des cancers de l’ovaire et de l’endomètre.

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